UN COUP DE MAIN AU PERE NOËL

Fidèle à ses valeurs coopératives, la CEAPC réaffirme par cette action, sa position de mécène œuvrant depuis 3 ans maintenant en faveur de l’enfance en difficulté, via sa Fondation.

Des perspectives élargies
L’année dernière, plus de 250 jouets étaient collectés sur 10 points de dépôt de la CEAPC (sièges administratifs et agences) au profit d’enfants défavorisés, via le Secours Populaire. Un coup d’essai qui a confirmé une véritable volonté des collaborateurs de « faire un geste » en faveur des plus démunis, particulièrement en cette période sensible.
Fort de ce premier succès et pour aller plus loin cette année, la collecte de jouets est organisée du 7 au 28 novembre 2013 avec pour contributeur l’ensemble des points de vente de la CEAPC.

Tous acteurs
Chaque salarié peut contribuer. L’opération repose sur le volontariat : chacun y participe comme il le souhaite et s’il le souhaite. La collecte s’adresse prioritairement aux collaborateurs et aux administrateurs. Les agences organisent leur propre point de collecte. Les commerciaux qui veulent associer leurs clients peuvent le faire.

Des modalités pratiques
Les jouets donnés sont destinés à des enfants de tous âges, garçons ou filles.
Les jouets ne doivent pas être emballés pour que l’association puisse identifier à quel profil d’enfant ce jouet pourra être offert : sexe, âge.

Les jouets doivent être neufs, ou dans un état neuf, c’est-à-dire en fonctionnement et d’aspect neuf : sans marque d’usure et propres.
Les jouets seront remis à l’occasion de Noël. Beaucoup d’enfants croient encore au Père Noël, il est important pour eux d’avoir des jouets neufs, en particulier à cette occasion.

Les livres et les DVD sont les bienvenus dans la mesure où ils sont neufs et de préférence sous film plastique.
Pour les jouets fonctionnant à piles, il est indispensable de penser à les fournir.

Un contexte qui pousse à l’action
Les acteurs sociaux constatent avec inquiétude une augmentation rapide de la pauvreté.
Des rapports récents* font état d’un renforcement des mécanismes de précarisation avec un durcissement des situations et une installation durable des individus concernés dans la pauvreté. Avec la crise économique et la fragilisation de l’emploi, la pauvreté change de visage. Si elle touche toujours des populations isolées et marginalisées, elle inclut désormais de plus en plus de femmes, notamment des familles monoparentales, mais également de plus en plus de couples avec enfants.